Il y a souvent une certaine beauté dans ces gratte-ciels rivalisant d’originalité dans leur création et d’ingéniosité dans leur réalisation. 

D’en haut on a l’impression de détailler une maquette de cité miniature où l’on pourrait presque déplacer les pièces à notre convenance. 

D’en bas l’être humain recherche ce petit bout de ciel qui prend de la valeur où parfois un oiseau bien seul profite des courants ascendants. 

 

Cette série est issue de promenades citadines au pied de ces géants. Le Nez en l’air, on peut alors facilement se laisser dépasser et perdre le sens de la réalité et n’y voir qu’une abstraction de lignes, de courbes faites d’acier, de béton et de verre. On en oublie que l’être humain est au milieu de tout ça.